Des oreilles neuves, des yeux nouveaux, une conscience nouvelle (Frederic Nietzsche)

Pour clore « La Lettre de Bernard Mérigot » du 4 mars 2010, quel est votre mot de la fin ?
Je l’emprunterai à Frédéric NIETZSCHE, dans L’Antéchrist .

« Des oreilles neuves pour une musique nouvelle.
Des yeux nouveaux pour l’horizon le plus lointain.
Une conscience nouvelle pour des vérités demeurées jusqu’ici muettes ».

« Avoir cette prédilection de la force pour les questions dont personne n’a aujourd’hui le courage ; le courage d’aller à ce qui est interdit; la prédestination du labyrinthe. Une expérience passée par sept solitudes. Des oreilles neuves pour une musique nouvelle. Des yeux nouveaux pour l’horizon le plus lointain. Une conscience nouvelle pour des vérités demeurées jusqu’ici muettes ».


RÉFÉRENCES
NIETZSCHE Frédéric
(1967). L’Antéchrist, Avant-propos, Jean-Jacques Pauvert, p. 76. Traduction de Robert ROVINI. Collection Liberté dirigée par Jean-François REVEL.

La Lettre de Bernard Mérigot, 4 mars 2010.

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