Agenda 2016 de Bernard Mérigot

 

Agenda 2016 de Bernard Mérigot

  • Agenda 4e trimestre 2016 (décembre, novembre, octobre)
  • Agenda 3e trimestre 2016 (septembre, août, juillet)
  • Agenda 2e trimestre 2016 ( juin, mai, avril)
  • Agenda 1er trimestre 2016 (mars, février, janvier)
  • Agenda. Novembre 2016
  • Agenda. Décembre 2016

 

Mercredi 7 septembre 2016
La Métropole de Paris, une chance pour tous ?,
Séminaire « Visions du Grand Paris » organisé par Paris Métropole, Hôtel de Ville, Paris.
L’espace métropolitain qui entoure Paris évolue plus fortement que jamais. Il est traversé par une multitude de mouvements et de phénomènes, contradictoires, qui modifient son visage et son équilibre. Ce processus de métropolisation nous concerne tous : habitants métropolitains, élus locaux, acteurs de la société civile.
Ces dernières années, dans la métropole parisienne, la réflexion et les débats ont été essentiellement mobilisés par la réforme institutionnelle. Les élus rassemblés au sein du syndicat Paris Métropole ont considéré ont souhaité lancer une réflexion de fond, dégagée des questions institutionnelles, en créant fin 2015, un groupe de travail « Vision stratégique du Grand Paris. Ce chantier s’est achevé par une première phase constituée par la publication d’un « document cadre d’interpellation stratégique ».
Une deuxième phase s’ouvre sur un cycle de séminaires productifs en septembre et en octobre 2016. L’ensemble des travaux et des réflexions issus de ces séminaires convergera vers un événement fédérateur qui se tiendra le 21 octobre après-midi à la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris.
La métropole, une chance pour tous ? Rencontre-débat
Mercredi 7 septembre 2016
16 h – 16 h 15
Ouverture par M. Patrick Jarry, Président de Paris Métropole.
16 h 15 – 16 h 30
Introduction par M. Daniel Béhar, Directeur de la coopérative Acadie
16 h 30 – 17 h 30
« La métropole, un fait global et paradoxal »
17 h 30 – 18 h 30
« Une recomposition des inégalités à toutes les échelles »
18 h 30
Conclusion
RÉFÉRENCES

PARIS MÉTROPOLE,

La métropole, une chance pour tous ?, rencontre-débat, Séminaire Visions du Grand Paris, Hôtel de Ville, Paris, 7 septembre 2016.
PARIS MÉTROPOLE / ACADIE, Visions du Grand Paris. Cadre d’interpellation, 2016, 36 p. Pourquoi un cadre stratégique métropolitain ? (p. 2), Les deux faces du fait métropolitain (p. 6), Le fait métropolitain est global et paradoxal (p. 7), La promesse métropolitaine (p. 8), La condition métropolitaine (p. 12), Faire métropole : un arbitrage permanent (p. 16), Comment accompagner les trajectoires des ménages et des entreprises, entre le passage et la sédentarisation ? (p. 22), Pour qui concevoir les services collectifs, entre les résidents et les présents ? (p. 24), Comment développer l’ouverture au monde entre l’exportation productive et l’attractivité « résidentielle » ? (p. 26),  Comment organiser les fonctions, entre polyvalence et spécialisation ? (p.28), Comment gérer les réseaux, entre intégration et proximité ? (p. 30), Comment concevoir les territoires, entre « villes complètes » et morceaux de métropole ? (p. 32).
JUILLET 2016
Jeudi 7 juillet 2016, vendredi 8 juillet 2016
« GEMAPI : Enjeux et gouvernance
. Comment gérer, demain, nos fleuves et rivières sur le territoire de la Métropole ? », Colloque organisé par la préfecture de la région Île de France, la Métropole du Grand Paris, le Syndicat Marne vive, Hôtel de ville de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne), Jeudi 7 juillet 2016 et vendredi 8 juillet 2016. Place sous la présidence de Patrick Ollier, Président de la Métropole du Grand Paris, Sylvain Berrios, Vice-Président de la Métropole du Grand Paris délégué à la GEMAPI et Président du Syndicat Marne Vive, Jean-François Carenco, Préfet de région Île-de-France, préfet de Paris.
La loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles (MAPTAM) de janvier 2014) a créé une compétence « ciblée et obligatoire » relative à la gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations, (GEMAPI). Cette compétence vise à mieux articuler l’aménagement du territoire et l’urbanisme avec la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations.
Elle recouvre quatre missions définies à l’article L.211-7 du Code de l’environnement :
•   L’aménagement d’un bassin ou d’une fraction de bassin hydrographique (1er alinéa) ;
•   L’entretien et l’aménagement d’un cours d’eau, canal, lac ou plan d’eau, y compris les accès à ce cours d’eau, à ce canal, à ce lac ou à ce plan d’eau (2e alinéa) ;
•   La défense contre les inondations et contre la mer (5e alinéa) ;
•   La protection et la restauration des sites, des écosystèmes aquatiques et des zones humides ainsi que des formations boisées riveraines (8e alinéa)
Une compétence est un terme juridique qui désigne l’aptitude d’une autorité à effectuer certains actes. Le droit public attribue des compétences aux différents niveaux des collectivités territoriales.
L’article L.211-7 I bis du code de l’environnement définit la compétence GEMAPI comme une compétence globale regroupant les items 1°, 2°, 5° et 8° du même article. Le législateur n’a pas souhaité aller plus loin dans la définition de la compétence, et les missions définies aux 1°, 2°, 5°, 8° ne sont précisées ni dans les textes réglementaires ni dans la jurisprudence. Ce faisant, il renvoie à une appréciation au cas par cas par les collectivités qui en ont la charge, en fonction des enjeux du territoire, des actions à mener pour répondre à l’objectif.
Certaines dispositions de l’article L.211-7 du Code de l’environnement ne sont pas comprises dans le bloc de compétence GEMAPI. Un groupement de collectivités à la possibilité de prendre d’autres compétences concourant à l’exercice de la GEMAPI. Ainsi, la gestion du ruissellement (alinéa 4° du L211-7 du code de l’environnement) qui recouvre la maîtrise des eaux pluviales et de ruissellement ou la lutte contre l’érosion des sols, n’a pas été pris en compte pour définir la compétence GEMAPI. Il est évident que la gestion et le ralentissement des ruissellements peut contribuer à la lutte contre les inondations de certains territoires.
JUIN 2016
Lundi 6 juin 2016
Conflits environnementaux : quelles réponses possibles ?,
15e Rencontres organisées par Décider ensemble, Assemblée nationale, Paris, 6 juin 2016.  Sous la présidence de Bertrand PANCHER, Député-maire de Bar-le-Duc, Président de Décider ensemble; Jean-Paul CHANTEGUET, Député de l’Indre, , Vice-président de Décider ensemble; Serge GROUARD, Député du Loiret,, Vice-président de Décider ensemble; Patricia SCHILLINGER, Sénatrice du Haut-Rhin, , Vice-présidente de Décider ensemble
Compréhension du phénomène ZAD.
Clément MABI,
Maître de conférence à l’Université technologique de Compiègne.
Le référendum, ultime recours en cas de conflits ?
Loïc BLONDIAUX,
professeur de science politique à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; Nicolas PORTIER, directeur de l’AdCF.
Vers un durcissement des conflits environnementaux ?
Ilaria CASILLO,
Vice-présidente, Commission nationale du débat public ; Florence DENIER PASQUIER, Vice-présidente, France Nature Environnement ; Brigitte MENGUY, journaliste, La Gazette des communes ; Bertrand PANCHER, Député-maire de Bar-le-Duc et président de Décider ensemble.
L’expertise, un moyen d’apaiser les conflits ?
Francis CHATEAURAYNAUD
, directeur d’études à l’EHESS ; Jean-Marc DZIEDZICKI, ancien responsable du pôle concertation et débat public de SNCF Réseau ; Jean-Michel FOURNIAU, Directeur de recherche à l’IFSTTAR, directeur du GIS démocratie et participation ; Pierre-Alain ROCHE, CGEDD, co-auteur du rapport Mission pour un projet de territoire du bassin du Tescou.
Jeudi 2 juin 2016
Salon des Maires et des collectivités locales,
Association des maires de France (AMF), Paris, Porte de Versailles, 31 mai 2016-2 juin 2016.
MAI 2016
Mardi 31 mai 2016
Parentés contemporaines,
par Mélanie Gourarier et Séverine Mathieu. Séminaire Anthropologie, psychanalyse et politique. Regards sur les terrains : subjectivation et globalisation, Paris, Fondation Maison des sciences de l’homme. Séminaire dirigé par Monique SELIM.
Les récentes mutations (aussi bien légales, politiques, économiques, médico-techniques, affectives…) intervenues dans la gestion de « ce qui fait famille » font croire à un changement radical de paradigme dans l’approche de la parenté.
La procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), l’ouverture du mariage de couples de même sexe et la possibilité d’adoption, l’établissement de la paternité fondée sur un lien génétique… sont présentés comme des phénomènes inédits, notamment en raison des techniques mobilisées.
Ces innovations cristallisent des inquiétudes et soulèvent de virulents débats. En quoi est-on fondé à les penser comme constitutives de ruptures ?
Les manières de faire de la parenté sont-elles vraiment une singularité contemporaine ? Si tel est le cas, comment en rendre compte avec les outils de l’anthropologie, notamment dans une perspective comparative ?
Lundi 30 mai 2016
Jeudi 26 mai 2016.
Observatoire des assemblées délibérantes locales.
Jeudi 26 mai 2016
Rapport annuel sur l’assainissement des eaux usées. Épuration, collecte, Transport. Études et chantiers 2016. Syndicat de l’Orge. Commission Consultative des Services publics locaux (CCSP). Écologie et paysage.
Vendredi 23 mai 2016
Conseil métropolitain de la Métropole du Grand Paris (MGP), Conseil économique social et environnemental (CESE), Paris. Séance n°2016/5
Vendredi 13 mai 2016
Anthropologie(s) du catholicisme. Journée d’études organisée par le GSRL, École des hautes études en sciences sociales, Paris.

Mercredi 11 mai 2016
Démocratie et citoyenneté.
Dialogue entre Saskia SASSEN, professeur titulaire de la chaire Ville globale, et Martial FOUCAULT (CEVIPOF) organisé par la Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH) / Collège d’études mondiales, En partenariat avec la Chaire « Global Cities » du Collège d’études mondiales/FMSH, dirigée par Saskia Sassen et Richard Sennett, avec la collaboration d’Adil Jazouli et du Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF)Centre Calouste Gulbenkian, 39 boulevardd de La Tour-Maubourg, Paris 7e.
La ville « globale » est-elle condamnée à n’être que l’unique projection sur le sol de sa propre globalisation? Peut-elle échapper aux logiques de la mondialisation ? Peut-elle avoir ses propres banlieues, développer des zones péri-urbaines originales, définir son appartenance à un territoire plus vaste ? La ville devient alors le lieu qui rend visible les injustices sociales, les conflits politiques, et la construction de nouvelles identités. Elle est alors le reflet de la complexité contemporaine des dynamiques et des échanges de ses acteurs.
AVRIL 2016
Mercredi 20 avril 2016
Démocratie et relativisme,
conférence de Robert Legros, Institut catholique de Paris.
Lundi 18 avril 2016
Plan local d’urbanisme (PLU) de la commune de Savigny-sur-Orge. Suivi du dossier.
Jeudi 14 avril 2016
L’attractivité du territoire : une region-capitale, 1280 territoires attractifs, conférence-débat, 20ème Salon des Maires d’Ile-de-France Paris Event Center, Porte de la Villette.
mercredi 13 avril 2016
La métropole du Grand Paris et sa relation aux territoires,
conférence-débat, 20 Salon des Maires d’Ile-de-France Paris Event Center, Porte de la Villette.
Mardi 12 avril 2016
Conseil territorial de l’établissement public territorial n°12 (EPT 12), Vitry-sur-Seine. Séance n°2016/5
Mardi 12 avril 2016
Salon des Maires d’Ile-de-France,
Association des maires d’Ile-de-France (AMIF), Paris, Paris Event Center, Porte de la Villette, 12 avril 2016-14 avril 2016.
Mardi 12 avril 2016
Les paradoxes du rêve, par Anne QUERRIEN, Monique SELIM et Monique ZERBIB, Séminaire Anthropologie, psychanalyse et politique. Regards sur les terrains : subjectivation et globalisation, Paris, Fondation Maison des sciences de l’homme. Séminaire dirigé par Monique SELIM.
Témoin éveillé de la vie psychique endormie, le rêve garde la porte qui sépare le conscient de l’inconscient. Il épouse les formes de celui-ci : porte dérobée quand l’inconscient descend dans les profondeurs de la vie interdite en surface, espace fastueux de la vie symbolique quand le rêve dicte à un peuple les règles de son appartenance, miroir déformant de la vie quotidienne quand celle-ci est tendue par l’impératif de consommation, image illusoire d’un avenir meilleur quand l’idéologie politique s’en empare et le transforme en instrument d’asservissement.
Le rêve est multiple et foisonnant, porteur à des degrés variables de toutes ces figures, dans les situations où il avance plus ou moins timidement son questionnement. Au milieu de ces différentes pistes, l’analyse trace pour chacun un chemin spécifique, une offre fragile de liberté.
En offrant à tout un chacun une démarche de thérapie par la parole, proche de celle qu’il avait déjà inventée avec les névrosés, Freud a semblé fermer la porte du rêve aux psychotiques et aux êtres vivants incapables d’interagir de façon langagière avec leurs thérapeutes. Pourtant il a également affirmé que c’était les enfants qui avaient accès le plus directement à leurs rêves, sans se soucier du fait que le terme « enfant » ou « infans », veut dire précisément qui ne parle pas, qui est hors de ces enjeux langagiers. Toujours le paradoxe du rêve.
Aujourd’hui les neurosciences, dans leur prétention démocratique, ont beau jeu de dire : tout le monde rêve, même les animaux rêvent, tout le monde a des périodes de sommeil paradoxal, pendant lesquelles le cerveau et les yeux s’agitent fortement, pendant lesquelles les neurones battent leurs cartes pour se préparer au réveil. Cette préparation conduit d’après les observations freudiennes à passer peu ou prou les propositions du rêve sous les fourches caudines de la vie morale éveillée. Il y aurait une instance de censure qui ferait du rêve un accomplissement de désir, conscient finalement de son impuissance. Spécialistes des neurosciences et collègues de Freud, tout le monde s’unit pour dire qu’il n’y a pas d’accomplissement de désir, notamment sexuel, et qu’à aiguiller le désir de la sorte on le conduit précisément vers l’impuissance. Accomplissement, impuissance, encore le paradoxe du rêve, et sa méconnaissance.
Quel est l’espace ouvert par le rêve ? Comment est-il articulé avec l’espace politique au sein duquel il permettrait de se déplacer, ou à l’immobilisme duquel il obligerait à s’adapter ? Quelle force véhicule le rêve ?Est-il entièrement agi par les pouvoirs qui l’imposent ou a-t-il une consistance propre ?
Les terrains dont sont issus les articles de ce numéro font autant état de rêves collectifs que de pratiques individuelles. Dans l’un comme dans l’autre cas peut-on imaginer une politique du rêve, un partage des récits, un soutien mutuel dans un cheminement de désir ?
Samedi 9 avril 2016
Assemblée générale, Essonne Nature Environnement(ENE), Épinay-sur-Orge.
Vendredi 1er avril 2016
Conseil métropolitain de la Métropole du Grand Paris, (MGP), Paris, Palais d’Iéna, Conseil économique, social et environnemental (CESE). Séance n°2016/4
MARS
Mardi 8 mars 2016
« La disruption. Comment ne pas devenir fou ? »,
(Disruption, pulsion de mort, folie. Penser le Web et son a-venir), par Bernard STIEGLER. Séminaire de recherche du Collège d’études mondiales, Fondation Maison des Sciences de l’Homme (FMSH), 190 avenue de France, 75013 Paris. Séance du 8 mars 2016.

Pourquoi notre monde est-il en train de devenir fou ?
Bernard Stiegler présente les thèses fondamentales de son prochain livre Dans la disruption. Comment ne pas devenir fous? (Éditions des Liens qui libèrent. Parution en avril 2016). Il présente les ressorts d’une société qui a vendu son souci d’humanisation au diable d’une technologie aveugle.
Avec la connexion planétaire des ordinateurs, des smartphones et des foules, les organisations sociales et les individus qui tentent de s’approprier l’évolution foudroyante de la technologie arrivent toujours trop tard, à tel point qu’elles sont à présent au bord de l’effondrement. C’est ce que l’on appelle la disruption. Cette immense puissance installe un immense sentiment d’impuissance qui rend fou.
Le changement de paradigme répertorié sous le nom de « globalisation » ou de « mondialisation »
nécessite une définition spécifique des enjeux et des concepts qui lui sont associés. L’introduction du « global » et du « mondial » dans les sciences humaines et sociales implique une nouvelle réflexion sur les rapports dans l’espace (changement des rapports géopolitiques, des hégémonies économiques, de la lecture des phénomènes et mouvements de migration…).
Les rapports au temps se trouvent affectés. La linéarité historique nécessite une lecture complexe et globale, les processus de constitution des subjectivités se nourrissent de temporalités différentes et parfois anachroniques, l’étude des phénomènes de mémoire collective montrent l’insuffisance des seuls cadres nationaux.
Le séminaire de recherche du Collège d’études mondiales constitue un espace intellectuel pour les chercheurs qui veulent discuter et problématiser les changements dans leurs disciplines spécifiques, sans écarter un travail commun et transdisciplinaire. C’est un lieu d’échange et de réflexion pour les chercheurs en sciences humaines et sociales qui font face aux changements méthodologiques et épistémologiques exigés par la lecture des phénomènes contemporain.
FÉVRIER
Vendredi 19 février 2016
Fondation Maison des sciences de l’homme (EMSH), Paris.
Jeudi 18 février 2016
Observatoire citoyen des assemblées délibérantes locales.
Conseil métropolitain, Métropole du Grand Paris (MGP), Paris, Conseil économique, social et environnemental.
Jeudi 18 février 2016
Villes et villages Internet.
Journée d’étude et remise du label Villes Internet par Axelle LEMAIRE, secrétaire d’état chargée du numérique, Association Villes Internet, Montrouge.
Mardi 16 février 2016
« Digital Humanities / Savoirs informatiques. Entre appropriation de l’outil numérique et wiki politique »,
par Yann MOULIER BOUTANG, professeur d’économie politique à l’Université de technologie de Compiègne. Séminaire de l’Association française des anthropologues (AFA) dirigé  par Olivier DOUVILLE, psychanalyste, Laboratoire CRPMS Université Paris 7, Delphine LACOMBE, sociologue, MISHA / CNRS Alsace, Julie PEGHINI, anthropologue,  Université Paris 8 CEMTI, Monique SELIM, anthropologue, directrice de recherche à l’IRD. Fondation maison des sciences de l’homme (FMSH), Maison Suger, Paris.
Jeudi 4 février 2016
Villes et démocratie, Villes et inégalités,
Métropolitiques, Paris.
JANVIER
Samedi 30 janvier 2016
« Communs, contributions et nouvelle puissance publique »,
Journée d’étude animée par Bernard STIEGLER, avec les interventions de Michel BAUWENS, Carlo VERCELLONE, Franck CORMERAIS, Benjamin CORIAT, Mark HUNYADI, Frédéric SULTAN, Théâtre Gérard Philipe, Saint-Denis.
Vendredi 29 janvier 2016
Établissement d’une Charte de la participation du public.
Atelier participatif organisé par le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, Paris.
Jeudi 28 janvier 2016
Les leviers de financement et de développement sur Internet pour les associations. Journée d’étude organisée par Webassoc, Paris.
Mardi 26 janvier 2016
Conseil territorial de l’ Établissement public territorial (EPT 12)
Grand Orly, Val de Bièvre, Seine Amont, Portes de l’Essonne,  Hôtel de ville de Vitry-sur-Seine, 94400. (Observatoire citoyen des assemblées délibérantes)
Vendredi 22 janvier 2016
Associations et action publique.
Colloque organisé par le CNAM, Chaire économie solidaire, le conseil régional dIle-de-France, la MAIF, Buc. «Nouvelles contraintes et pratiques associatives» par Jean-Louis LAVILLE. «Les associations dans l’économie sociale et solidaire» par Benoit HAMON.
Vendredi 22 janvier 2016
Conseil métropolitain.
Métropole du Grand Paris. Conseil économique, social et environnemental. Séance d’installation. Élection du président et des vice-président, Paris, Conseil économique social en environnemental. Observatoire citoyen des assemblées délibérantes locales
Mardi 19 janvier 2016
« La libération des femmes. Une plus-value mondiale », par QUERRIEN Anne et SELIM Monique, Séminaire de l’Association française des anthropolgues (AFA) organisé par Olivier DOUVILLE, psychanalyste, Laboratoire CRPMS Université Paris 7, Delphine LACOMBE, sociologue, MISHA / CNRS Alsace, Julie PEGHINI, anthropologue, Université Paris 8 CEMTI, Monique SELIM, anthropologue, directrice de recherche à l’IRD. Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSE), Maison Suger, Paris.
Lundi 18 janvier 2016
Lundi 18 janvier 2016
Mardi 12 janvier 2016
Conseil territorial de l’ Établissement public territorial (EPT 12)
Grand Orly, Val de Bièvre, Seine Amont, Portes de l’Essonne,  Hôtel de ville de Vitry-sur-Seine, 94400. Observatoire des assemblées délibérantes.
Vendredi 8 janvier 2016
Réception Voeux
Samedi 9 janvier 2016
Réception Voeux
Mardi 5 janvier 2016
Réception Voeux
Mardi 5 janvier 2016
Réunion PLU
Mention du présent article http ://www.savigny-avenir.info
ISSN 2261-1819
Dépôt légal du numérique, BNF 2016

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